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Festival 4+4 jours en mouvement

La 23e édition du festival d’art contemporain Four days aura lieu du 5 au 13 octobre dans divers lieux à Prague et proposera des représentations inédites : neuf premières de compagnies internationales et quatre premières tchèques. Traditionnellement les organisateurs choisissent pour siège principal un lieu désaffecté du centre-ville. Cette année, on retrouve le palais Desfour à Florenc où sera présentée entre particulier la partie de la manifestation intitulée Principe d’incertitude. Les spectacles auront lieu aux théâtres Archa et Ponec, et au Centre d’art contemporain DOX.

Le festival présente deux spectacles français : le 11. 10. à 20 h à Divadlo Ponec aura lieu le spactacle  Déplacement et le 13.10. à 15 h et 18 h à Centrum současného umění DOX aura lieu le spectacle Corbeaux.

11. 10. 20:00

PONEC – Divadlo pro tanec ; Husitská 24a, Praha 3

Mithkal Alzghair / Compagnie hek-ma (Syrie/France): Déplacement

Sans paroles.
Durée: 60 min.

Billetterie 

Sur fond de conflit entre deux émotions, se déploie la chorégraphie du danseur et chorégraphe franco-syrien Mithkal Alzghair. D’un côté l’espoir d’être sauvé en prenant la fuite, d’un autre côté la mélancolie à l’idée de ne pas pouvoir revenir. Cette œuvre en deux parties – solo d’Alzghair suivi d’un trio masculin – est née de l’analyse de deux dynamiques : le mouvement forcé et le mouvement limité.

Le spectacle Déplacement a été créé en mars 2016 et récompensé par le premier prix du concours international Danse élargie, organisé par le Théâtre de la Ville de Paris et le CCN de Rennes et de Bretagne.

13.10.  15:00 + 18:00  

Centrum současného umění DOX, Poupětova 3, Praha 1

BOUCHRA Ouizguen / COMPAGNIA O (Maroc / France): Corbeaux

Sans paroles.
Durée: 30 min.

Prix des billets: 200 / 150 Kč

Billeterie

Installation vivante suggestive qui renvoie aux souvenirs lointains et aux premières expériences mystiques de la chorégraphe marocaine Bouchra Ouizguen. Pendant les longues nuits, dans les environs de Marrakech, se déroulaient régulièrement les rituels « Issawa » et « Hmadcha », qui au moyen de la répétition monotone de séries rythmiques au son des tambours emportaient leurs participants jusqu’à l’état de transe. Cet héritage ancien unissait la communauté dans les couches profondes du subconscient et apportait un sentiment d’appartenance, de sécurité et de plaisir.

 

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